Surplombant la Sorgue dont l’eau est dirigée par le canal de Vaucluse vers les remparts qu’elle traverse à la tour du Saint-Esprit ou de la Sorguette, cette rue a été, du XIVe siècle au XIXe siècle, le siège d’une intense activité manufacturière. Vingt-trois roues à aubes fournissaient l’énergie à des moulins et des filatures de soie. Ses eaux furent utilisées pour laver des indiennes et rincer les tissus par les teinturiers. Même si de nos jours, il ne reste plus que quatre roues, elle est toujours surnommée rue des Roues par les Avignonnais. Pavée de calades et ombragée de platanes, elle est devenue l’un des pôles touristiques de la cité des papes pendant le Festival d’Avignon. Elle possède de plus quatre sites remarquables : la maison du IV de Chiffre, la maison de Jean-Henri Fabre, la chapelle des Pénitents Gris et le clocher du couvent des cordeliers, ultime vestige de l’église où fut inhumée Laure, l’éternel amour de Pétrarque. (source wikipedia)
Comme beaucoup, j’aime cette rue qui regorge de charme, naturellement davantage durant le festival, elle est à elle-même le théâtre de bien des artistes,
L’hiver lui confère un charme poétique, un lieu particulier, comme si on se retrouvait dans un autre temps,
ça faisait longtemps que je n’y avais pas passé du temps, curieusement elle a conservé toute son énergie, sa créativité, sa poésie !
Ho comme ça m’a l’air bien agréable ! J’ai prévu une nuit en Avignon dans quelques semaines et tu me donnes là une belle idée de balade, merci !
Cette rue se prête effectivement à une très jolie ballade.
une rue magnifique qui pourrait nous conter beaucoup d’histoires