Refuge à 3835m construit sur une voie d’ascension du Mont-Blanc empruntée chaque année par des alpinistes
Le développement durable s’installe dans le plus haut refuge gardé d’Europe,
Techniques spécifiques développées :
– Energies renouvelables : capteurs solaires thermiques, capteurs photovoltaïques, cogénération à l’huile de colza.
– Centrale double flux à débit variable en fonction du nombre d’occupants, à récupérateur de chaleur rotatif à haut rendement. Récupération de la chaleur en excès dégagée par les occupants de la salle.
– Fondoir à neige : La production de l’eau nécessaire au refuge est obtenue au moyen d’un fondoir à neige alimenté en énergie thermique à partir de capteurs solaires thermiques, avec appoint par la cogénération. L’énergie thermique est transférée au fondoir au moyen d’un circuit à eau avec antigel et d’une pompe de circulation à un serpentin chauffant par conduction la tôle du fondoir.
– Système d’assainissement avec évacuation par dépression (1,2 litres par chasse seulement), traitement biologique, filtration membranaire, recyclage de l’eau filtrée pour les WC et les urinoirs. Ne sont ainsi rejetées à l’environnement que des eaux ayant fait.
On y va ?
Globe-trotteuse : Virginie B
Oui mais pour y aller…ça se mérite, quoi!
Perso, je le trouve un peu trop futuriste… c’est tellement beau les refuges traditionnels en bois…
Les contraintes d’altitude, de température et de vent ne permettent probablement pas de faire ce qu’on veut pour construire un refuge dans la durée.