crédit photo : equitable-79.com
Tout a commencé par la lecture de Billy se bile, l’histoire d’un garçon qui s’inquiète beaucoup dans la vie jusqu’au jour où il fabrique des poupées anti-soucis qu’il glisse sous son oreiller. Quand j’ai lu ce livre à mon fils, je lui ai expliqué qu’au Guatemala, les enfants réalisaient ses poupées avec du carton, du tissu, de la laine et des bouts de ficelle. Avant d’aller se coucher, ils leur racontent leurs soucis puis mettent la poupée sous leur oreiller et le lendemain, le souci s’est envolé. Il a adhéré à la magie de ce rituel.
La semaine dernière, en découvrant la librairie Raconte-moi la terre, j’ai vu des poupées tracas et j’en ai pris une pour mon fils et une pour sa sœur . La Miss n’en ayant cure, mon fils s’est empressé de récupérer celle de sa soeur et s’est donc retrouvé avec deux poupées sous son oreiller.
Ça ne m’empêche pas, certains soirs, de devoir le rassurer )
Et toi, tu t’endors avec tes tracas ou tu arrives à les mettre de côté ?
Globe-trotteuse : Chocoladdict
On les a depuis longtemps ces petites poupées du Guatemala car ici il y a le Club Quetzal. Sympa. ça fonctionnait bien avec mes enfants quand ils étaient petits.